Qu'ils soient défenseurs des ours dans les Pyrénées ou
anti-motorisés dans les Alpes, les écolos radicaux utilisent les
mêmes méthodes : appel à la délation, surveillance par des groupes
de volontaires (Sud
Ouest s'interroge : "une milice ?"), photographies
des véhicules et des gens suspects (
En tout cas, si l'on en croit le journal Sud Ouest, c'est à nouveau la guerre dans les Pyrénées... et les "méchants" sont montrés du doigt : les chasseurs et les éleveurs. Ainsi, dans les montagnes pyrénéennes, on pourrait paraphraser Coluche : "si vous êtes chasseur, éleveur et conducteur de 4x4, ça sera très dur..."
Quoi qu'il en soit, l'article omet une information capitale en ces temps de crise où la chasse aux déficits est de rigueur : le coût cumulé depuis 1996 du programme de réintroduction de l'ours a probablement atteint voire dépassé les 20 millions d'euros.
Dans le rapport d'information parlementaire du 13/12/2006 sur lequel nous appuyons notre estimation, le député Augustin Bonrepaux avait calculé une note dépassant les 12 M€ pour la période 1996-2005 et plus de 2 M€ pour la seule année 2006...
Dépenser autant d'argent pour en arriver à une guerre civile dans les Pyrénées, il fallait le faire... et nous le devons à cette "écologie" moderne qui ne tient pas compte des réalités locales mais s'impose aux populations depuis de lointains bureaux en ville... Bravo !
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